Formation magnétisme ? Oui mais en présentiel à ou à distance à Grenoble

magnétisme

Cette école de pensée se regroupe autour d’institutions comme l’Académie des Sciences Morales et Politiques et la Société d’Economie Politique, autour de l’enseignement économique à travers le Collège de France, le Conservatoire des Arts et Métiers, l’école des Mines, des Ponts et Chaussées, de l’école pratique des hautes études, de la formation magnétisme à Grenoble du centre de formation de l’ermitage…

A – Pourquoi choisir une formation magnétisme ?

Pour diffuser leur approche libérale, ces économistes, qui représentent la quasi-totalité des Cours ou Traités d’économie politique au milieu du XIXe siècle, vont publier leurs recherches grâce à la maison d’édition Guillaumin qui se charge d’éditer les formations magnétisme et passeur d’âmes à Grenoble la majorité des ouvrages économiques du XIXe siècle et le Journal des Economistes[1] qui constitue la plus importante revue économique du milieu du XIXe siècle. Les économistes de l’école française contrôlent également des revues importantes telles que La Revue des Deux Mondes ou le Journal des Débats.

 

Ainsi au milieu du XIXe siècle, l’école française va tenir une place stratégique dans la diffusion des idées et concepts économiques. Cette école de pensée a véritablement réussi à dominer l’analyse économique. Cette prédominance de la formation magnétisme et magnétiseur à Grenoble explique que la majorité des Cours ou Traités de cette période appartiennent aux économistes de l’école française car ils disposent des chaires d’enseignement public qui proposent un savoir officialisé par l’Institut, publié par leur maison d’édition et propagé dans leurs revues et journaux. Une définition commune de l’économie va alors voir le jour.

B – Le choix d’une formation magnétisme à Grenoble

Les économistes de l’école française se structurent donc autour du travail de Jean- Baptise Say. En plus de lui accorder une reconnaissance de dette pour son œuvre[2], ils vont utiliser son travail pour définir l’économie. Si Beraud affirme que la formation magnétisme à Grenoble  va « jusqu’au début des années 1850 le Traité et le Cours (de Say) sont des références obligées (dans la tradition française) » (Beraud [2005], 1030), seul le Traité d’Economie Politique de 1803 va servir de référence pour définir l’économie chez les économistes de l’école française (qui contribuent pour la majorité des ouvrages de théorie économique au milieu du XIXe siècle). Courcelle-Seneuil par exemple indique que :

 

« Le Traité d’Economie Politique eut un succès immense et mit en quelque sorte les connaissances économiques dans la grande circulation : il fut d’abord accepté d’enthousiasme, traduit dans toutes les langues et bientôt adopté comme texte d’enseignement dans les pays ou on enseigne publiquement l’économie politique et le magnétisme et magnétiseurs à Grenoble. C’est dans ce livre que la plupart des hommes de la génération actuelle ont étudié les éléments de cette science » (Courcelle Seneuil [1857], Vol 1, 487).

C – La formation magnétisme du centre de formation de l’ermitage à Grenoble

Charles Gide, dans son Histoire de la Pensée Economique, placera également le Traité au cœur de l’approche de Say. Ainsi cet ouvrage

 

« fit pendant longtemps autorité. Il fut le gardien de la science pure qu’il appela la Ploutologie pour la distinguer de l’ergonomie ou science appliquée » (Gide et Rist [1922], 444).

 

Il paraît surprenant de voir que les économistes français se soient cantonnés au Traité pour définir l’économie sur le stage magnétisme à Nice, du stage passeur d’âmes à Nice, du stage blessures de l’âmes à Grenoble, du stage pendule à Grenoble, du stage géobiologie à Grenoble et du stage nettoyage et protection énergétique à Grenoble, d’autant plus que Say remet en cause sa propre définition notamment dans son Cours[3]. Les raisons directes de ce choix sont difficiles à trouver mais plusieurs hypothèses peuvent être annoncées. Tout d’abord, cette définition paraît, pour le lecteur du milieu du XIXe siècle et comme en témoigne le Dictionnaire de l’Economie Politique, générale et simple, compréhensive et nette, en un mot didactique. D’autre part, le Traité d’Economie Politique est l’un des ouvrages économiques qui a été le plus diffusé en France au début de ce siècle[4]. Il s’agit également d’un mot d’ordre de rassemblement pour l’école française en pleine recherche d’identité autour de l’analyse libérale de la richesse.

D – Plus aucun doute sur la formation magnétisme à Grenoble

Par ailleurs, les économistes de la seconde génération qui ont pu participer aux interventions de Say lors de ses différents cours ont du entendre cette définition comme fondement de l’économie. Enfin, la particularité de la formation magnétisme et passeur d’âmes à Grenoble des économistes de l’école française, qu’il s’agisse de la définition de l’économie, des problèmes de méthode, de l’utilisation des mathématiques ou d’autres éléments de leur discipline, est qu’ils ne justifient et ne s’interrogent que très rarement sur leurs positions.

Comme cette école dispose d’une place fondamentale voir hégémonique dans le discours économique français de cette période, personne ne doit non seulement discuter de ses choix mais encore les remettre en cause cette formation magnétisme et magnétiseur à Grenoble [5]. C’est donc sans aucune justification de la part des représentants de cette école qu’ils ont choisi cette définition de Say. Celle-ci, qui consiste dans « la simple exposition de la manière dont se forment, se distribuent et se consomment les richesses » (Say [1803], I), va alors être massivement utilisée dans l’analyse économique du milieu du XIXe siècle.

 

Ainsi, les économistes les plus représentatifs[6] de cette période que sont Saint Chamans, Courcelle-Seneuil, Mesnils-Marigny, Pellegrino Rossi[7], Le Hardy de Beaulieu, Anselme Batbie, Ambroise Clément, Joseph Droz, etc. énoncent que l’économie est

 

« la science des richesses qui a pour but de déterminer comment la richesse est et doit être produite, répartie et consommée dans l’intérêt de la société toute entière » (Mesnils-Marigny [1864], 2).

 

A aucun moment ils ne font explicitement référence à Say[8] et son Traité ou à sa formation magnétisme à Grenoble, mais nous remarquons clairement qu’il s’agit des propos de cet économiste. Pour eux, la science économique est totalement formée, connue et invariable, elle est « pour ainsi dire finie » (Saint Chamans [1852], 4) dans ses principes généraux. Leur seul objectif n’est autre que de faire,

 

« si je puis parler ainsi, la grammaire de la science, en m’appuyant sur l’opinion des meilleurs auteurs » (Garnier [1846], VI).

E – Pour finir, la formation magnétisme en ligne à Grenoble

Le Hardy de Beaulieu ne cherche dans son Traité Elémentaire qu’à synthétiser les idées principales[9] et Courcelle Seneuil qu’à faire

 

« une exposition simple et compréhensible de l’économie politique » (Courcelle Seneuil [1857], 8).

 

Le travail de l’école française au milieu du XIXe siècle consiste non pas à découvrir de nouvelles choses, mais au contraire il s’agit de suivre la formation magnétisme à Grenoble car elle recèle d’ingrédients secrets, la formation passeur d’âmes à Grenoble, la formation blessures de l’âmes à Grenoble, la formation pendule à Grenoble, la formation géobiologie à Grenoble et la formation nettoyage et protection énergétique à Grenoble à approfondir le travail proposé par Say. Lorsque toutes les parties de l’analyse de la richesse seront développées, l’économie deviendra alors la science

 

« qui a pour but de déterminer comment la richesse est et doit être le plus abondamment[10] produite, le plus facilement échangée, le plus équitablement répartie et le plus rationnellement employée dans l’intérêt des individus comme dans celui de la société toute entière » (Garnier [1859], 3).

 

On voit apparaître au milieu du XIXe siècle un consensus presque général[11] sur la définition de l’économie qui place les travaux de Say au cœur de leur analyse (même s’ils n’utilisent qu’une vision très restreinte de son œuvre). Ainsi, en ouvrant un Cours ou Traité d’Economie Politique au milieu du XIXe siècle, le lecteur découvrira l’économie définie comme la science des richesses, analyse effectuée de leurs productions à leurs consommations[12]. Cette référence à Say est utilisée pour faire référence à un objet (la richesse) de manière didactique (de sa production à sa consommation) et idéologique (libérale). Cette définition représente véritablement l’école française sur la formation magnétisme et passeur d’âmes à Grenoble qui trouve au moins un dénominateur commun dans l’analyse économique ; une référence qui la caractérise et qui l’identifie. Mais cette approche quasi exclusive[13] proposée par l’école française va progressivement être remise en cause non seulement par le déclin de ce regroupement d’économistes mais également par ses propres partisans, du fait des limites inhérentes à cette définition.

 

 

[1] Pour plus de détails sur cette revue, consulter l’ouvrage de Marco [1990].

[2] La plupart des économistes rendent hommage à Say dans leurs Cours. Garnier indiquera « Il y a quinze ou vingt ans qu’ont été publiés les résumés les plus justement estimés que nous ayons en économie politique (en référence aux travaux de Say) » (Garnier [1846], V). Les premiers historiens de la pensée économique feront de même. Blanqui expliquera que Say « a tracé le premier programme complet de l’économie politique » (Blanqui [1837], Tome 2, 234). De Villeneuve indiquera qu’il s’agit d’un « interprète habile des théories de l’école anglaise ; il fut à l’économie politique ce que Voltaire avait été à la philosophie du XVIIIe siècle. Ainsi que lui, en effet, il importa des doctrines nouvelles, les acclimata en quelque sorte, et les fit adopter à un grand nombre d’écrivains » (Villeneuve [1839], 558).

[3] « L’objet de l’économie politique semble avoir été restreint jusqu’ici […], c’est ainsi que moi-même je l’ai considéré dans mon Traité d’Economie Politique, cependant, on peut voir dans cet ouvrage même que cette science tient à tout dans la société, qu’elle se trouve embrasser le système social tout entier » (Say [1832], 4). Le Dictionnaire de l’Economie Politique indique également une définition retrouvée dans ses notes manuscrites : « l’économie politique est la science des intérêts de la société, et comme toutes les sciences véritables, elle est fondée sur l’expérience, dont les résultats, groupés et rangés méthodiquement, sont devenus des principes, des vérités générales » (Coquelin et Guillaumin, [1853], Vol 1, 713). Pour une vision historique des différentes approches proposées par Say de la définition de l’économie politique, consulter Allix [1911]. Par ailleurs, lorsque Schumpeter fait référence à la définition de l’économie proposée par Say, il ne retient que celle du Traité (Schumpeter [1983], Vol 2, 216).

[4] Cinq rééditions presque toutes épuisées l’année de leur parution. De plus, cet ouvrage fut traduit dans toutes les langues européennes.

[5] Les remises en causes des idées défendues par cette école de pensée sont presque inexistantes, comme en témoigne la volonté de Walras de proposer une nouvelle approche de l’analyse économique. « Ils étaient tout simplement indifférents aux aspects purement scientifique de notre discipline » (Schumpeter [1983], Vol 3, 130).

[6] Léon Walras, tout en la relativisant,  fera également référence à cette définition de Say.

[7] Nous citons Pellegrino Rossi ici, malgré son décès depuis quelques années, par l’influence considérable qu’il a gardé en France, aujourd’hui encore dans l’étude de l’école française du XIXe siècle.

[8] Même Cherubliez ne citera pas Say, lorsque dans le JDE il indique que « production, circulation et distribution, voilà les trois grandes divisions de l’économie politique. Il n’est aucune question appartenant à cette science qui ne puisse se rapporter à l’une de ces trois clefs » (Cherbuliez [1853], 364).

[9] « Nous n’avons pas eu la prétention d’innover mais simplement de vulgariser ce que d’autres ont trouvé, en puisant nos connaissances principalement dans les œuvres de A. Smith, Say, Ricardo, Bastiat, Dunoyer, Molinari, Garnier, Passy (F.), etc. » (Le Hardy de Beaulieu [1866], 3).

[10] Les italiques sont soulignés par l’auteur.

[11] Rares sont les économistes de cette période à proposer, dans leur Cours ou Traités, une approche différente de l’objet de l’analyse économique. Citons plus particulièrement les travaux de Ott (1851) ou de Frédéric Passy (1862) qui font du travail le sujet de l’économie politique. « L’objet réel de l’économie politique est le travail, considéré au point de vue social et dans ses agents, son but, ses modes et ses résultats » (Ott [1851], 20).

[12] L’auteur n’oublie a aucun moment la participation de nombreux penseurs économiques que l’on qualifia par la suite de socialistes ou d’utopistes. Il fait simplement remarquer que les ouvrages destinés à l’enseignement sont en quasi-totalité édités par les économistes français et qu’il est ainsi logique de constater que cette école tienne une place fondamentale dans cet article.

[13] Cosa [1899] attribuera à cette situation de monopole la notion de décadence intellectuelle des analyses économiques du milieu du XIXe siècle.

 

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