L’une des raisons du déclin des journaux est la démographie. Les lecteurs les plus fidèles des journaux sont les personnes âgées de plus de 65 ans, tandis que les personnes nées après 1980 ne sont guère intéressées par la lecture de ces journaux. En d’autres termes, chaque année, quelques millions de lecteurs de journaux meurent et ne sont pas remplacés par de nouveaux lecteurs.
Les journaux papier peuvent-ils survivre ?
Les journaux ont un contact physique, mais ils deviennent plus une nostalgie qu’une nécessité. Il n’y aura plus de journaux papier. Il est possible que certains survivent dans des formats plus petits ou dans des quotidiens, tandis que d’autres peuvent passer à un format hebdomadaire avec un meilleur journalisme. En plus de mourir, la plupart des journaux actuels n’investissent pas dans le bon journalisme parce qu’ils ne veulent pas perdre d’argent – Voulez vous savoir le bon journalisme de celui mauvais, n’hésitez pas à consulter amonavis pour lire les commentaires et les opinions des lecteurs.
Les publications sur papier sont-elles en train de mourir ?
Il est triste d’entendre dire que les consommateurs ne s’intéressent plus autant qu’avant aux médias imprimés. La presse écrite est en déclin constant depuis une dizaine d’années, et l’avenir ne s’annonce pas sous les meilleurs auspices. Même si la presse écrite n’est pas encore morte, elle est définitivement en train de mourir.
Les journaux ont-ils un avenir ?
En effet, ont-ils un quelconque espoir d’avenir ? Aucune industrie ne pourrait faire face à un déclin aussi rapide de la diffusion et y survivre. Dans la plupart des cas, les tirages ne représentent qu’une fraction de ce qu’ils étaient il y a quelques années.
Les journaux papier sont voués à disparaître
Selon les derniers chiffres, les journaux de la semaine ont une diffusion de 24 exemplaires (imprimés et numériques). Le journal du dimanche a été tiré à 25 millions d’exemplaires et celui du lundi à 3 millions. Il y a eu 8 millions de visiteurs, soit une baisse de 6 % par rapport à l’année dernière. En raison du ralentissement économique et de la fermeture de la plupart des points de vente au détail et des événements communautaires et des toner services, les recettes publicitaires des journaux ont fortement diminué en 2020.
Pourquoi les journaux disparaissent-ils ?
En raison de l’accès à Internet, de la publicité, de la propriété des entreprises et des médias sociaux, la production de journaux a fortement diminué. À la suite de l’invention d’internet, les journaux papier ont perdu de l’argent. En bref, le nombre d’abonnés aux journaux a diminué au cours de la dernière décennie.
Accélérateurs et décélérateurs de l’extinction des journaux
La prolifération des médias sociaux est le principal accélérateur économique et technologique de l’extinction des journaux. Toutefois, les facteurs démographiques sont déterminants pour calculer le temps qu’il reste à la presse en tant qu’industrie.
Le temps qu’il reste à la dernière génération de journaux pour vivre et occuper des postes de commande dans la société et les ménages fixe les limites temporelles des journaux. Mais cela maintient également ces délais, servant de décélérateur au déclin des journaux. Les personnes qui se souviennent du mythe des journaux et qui ont des compétences en matière de consommation de journaux pourraient être disposées à soutenir les journaux bien plus longtemps que ne le permettent les facteurs du marché – mais pas plus longtemps, bien sûr, que la durée de vie de ces personnes.
Le marché est déjà prêt à abandonner les journaux, mais pas la société. La demande commerciale de journaux a déjà presque disparu, mais la demande sociale est restée assez forte.
Les journaux mourront-ils un jour ?
Il est probable que les journaux traditionnels en version papier disparaîtront et seront remplacés par des médias numériques dans un avenir proche. Les journaux physiques disparaîtront avec le temps, mais ils ne seront jamais aussi importants qu’autrefois.
Les médias papier sont-ils en train de mourir en 2022 ?
L’imprimé est-il encore mort ? En 2022, l’imprimé est bien vivant et a le vent en poupe. En règle générale, les consommateurs généraux le préfèrent plus que les spécialistes du marketing B2B. L’imprimé continuera à prospérer tant qu’il sera capable de communiquer et de trouver de nouveaux moyens de le faire.
L’industrie de la presse écrite est-elle en train de mourir ?
Selon une nouvelle étude, la presse écrite est confrontée à un avenir plutôt sombre. La santé financière des journaux a été sérieusement affectée par la baisse du lectorat et des recettes publicitaires, la hausse des coûts, la perte de crédibilité et l’explosion des médias numériques et sociaux.
C’est déjà en route
Les événements critiques ressembleront à un tsunami d’arrêts spectaculaires de géants. Cependant, l’extinction des journaux est déjà en cours. Les signes qui l’annoncent sont simplement moins visibles ou interprétés à tort comme une crise cyclique. Les journaux suppriment des emplois et réduisent l’échelle de leurs opérations en essayant de passer de l’imprimé au numérique. Toutes ces activités ressemblent à la recherche d’une solution et créent l’illusion d’une adaptation possible. Les observateurs peuvent s’attendre à un rebond, mais la crise n’est pas cyclique, elle est existentielle.
